Toute ressemblance avec des ADOS réels et existants ne serait, bien entendu, que pure coïncidence…
15 octobre 2009
Saturday Night Fever
«Samedi soir, y a Brandon Acquaviva qui fait une teuf». Je trouve ce nom foutrement poétique! OK, Pedro et moi donnons notre accord à cette sortie. Une seule condition: je demande (bon… «j’exige» serait plus exact) l’adresse dudit Brandon et le téléphone de ses parents «au cas où». Cris d’orfraie de mon fils (15 ans), qui hurle au scandale, à la privation de ses droits civiques, à la perte irrémédiable de son intimité. Alors là, franchement, je reste sciée. Je n’ai pas dit que j’allais DÉBARQUER chez Brandon, je n’ai pas laissé entendre que j’allais TÉLÉPHONER à ses parents, j’ai juste dit que c’était «au cas où». Et honnêtement, je me trouve quand même assez cool sur ce coup-là, non? Vous gérez comment les sorties de vos ados, vous?
Rubrique :
Les bras m'en tombent
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Je ne gère plus... OUF!
RépondreSupprimerMême cas ici il y a peu. Même âge, même sexe, même exigence de notre part, même cris d'orfraie de sa part.
RépondreSupprimerConclusion de notre part : arrête ton cirque, c'est ça ou rien ! Hé, Hé, on gère la fougère ici !!!!
Bon, au début, il ne savait même pas où habitait le copain, et à peine son nom. En gros, il fallait lui donner carte blanche pour aller chez quelqu'un, un jour, quelque part...
@Patrick : et bien voilà, ici tout pareil ! Et encore, on a pas encore abordé la question de l'heure du retour (pense-t-il qu'il pourra rentrer… quand il aura décidé de rentrer ?). En attendant, il vient de me communiquer le nom, l'adresse et le tél du copain... PAR MAIL ! Modernité, quand tu nous tiens...
RépondreSupprimerAh ma Léo, moi je dis que tu gères drôlement bien la fougère !
RépondreSupprimerFanfan la Rose
@Fanfan : mouais... t'es sympa mais moi je ne suis pas trop sûre sur ce coup-là !
RépondreSupprimerSi j'ai pas l'adresse et le tél, tu restes à la maison point barre. Et si t'es pas content c'est pareil. Je suis une harpie, je sais.
RépondreSupprimer@Papilles : les harpies ont toujours raison, c'est bien connu. Et Titou a bien senti le vent venir : il était de retour pile à l'heure.
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